(Mardi 18)
Nasca, c’est le
mythe péruvien ! Comment ces lignes et ces dessins ont-ils pu être tracés
par l’homme avec cette qualité de précision il y a plus de 1000 ans, alors
qu’ils ne sont visibles que du ciel ?
Nous avons glané quelques réponses
en 2 temps : le premier en visitant le planétarium d’un hôtel dédié à la
mémoire de Maria Reiche, une Allemande qui a consacré sa vie à la découverte et
la sauvegarde de ces lignes.
Le second en prenant nous-même un petit coucou
pour survoler ces lignes. Les petits ont joué à la « chasse aux dessins »
pendant une demi-heure !
NB : Pour la
petite histoire, malgré les moyens modernes d’investigation, on ne sait
toujours pas avec certitude la signification de ces lignes et de ces
dessins ; l’hypothèse de tentatives de communication avec les dieux,
notamment de la pluie, semble la plus probable.
L'homme-hibou |
Le singe |
L'arbre et les mains |
Le colibri |
Concernant la
ville de Nasca elle-même, celle-ci ne vit que pour « les
lignes » : tout à l’intérieur de la ville le rappelle : dessins au sol, peintures au murs, abris-bus,...
Sur les
conseils de notre charmante hôtesse, nous avons visité le marché local tout
près de l’hôtel, principalement de fruits et légumes. Tom et Bruno ont testé
les coiffeuses péruviennes : on va dire que c’est moins pro qu’en France…
mais bon, la coupe de cheveux coûte 10NS (environ 3€) !
Enfin, nous avons
croisé pas mal de francophones pendant ces 24h à Nasca, entre autre une autre
famille avec 2 petites filles de 6 et 9 ans, réunionaises : elles ont vite
improvisé un cache-cache et un loup avec Tom et Lise autour du planétarium.
Dommage que nos directions pour les jours suivants étaient différentes…